Le divorce pour faute est de très loin le plus connu, et pour cause, puisqu’il a longtemps constitué la seule possibilité pour les époux de divorcer.
Le Code civil de 1804 fixait à l’origine des conditions extrêmement restrictives s’agissant du divorce par consentement mutuel, ne laissant concrètement applicable que le divorce pour faute.
Après un retour à une interdiction générale de divorcer en 1816, la loi du 27 juillet 1884 rétablit la possibilité de divorcer uniquement en cas de fautes précises (adultère, condamnation à une peine afflictive et infamante, excès, sévices et injures graves).
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